LES MIRA.CUL.ÉES

Nous avons voulu réveiller les t-shirts qui dorment au fond de nos placards. Ces t-shirts qu’on ne porte pas mais dont on ne veut pas se séparer non plus, que l’on ressort une fois tous les trois ans pour jardiner ou pour traîner sur le canapé. Ces t-shirts parfois trop grands, parfois publicitaires, qu’on nous a donné, qui nous rappellent quelqu’un, qui sentent les vacances…

Tous ces bouts de nos garde-robes sont de la matière première en sommeil.

Les mira.cul.ées sont des culottes et des brassières dans lesquelles on se sent bien et qui épousent nos formes. Ce sont des sous-vêtements qui ne contraignent pas nos mouvements mais qui les libèrent et les accompagnent toute la journée. On se sent fort.e.s et beau.elles, prêt.e.s à conquérir le monde dès le petit matin.

Ce sont des t-shirts transformés en sous-vêtements confortables. Du t-shirt du dimanche, on passe aux sous-vêtements de tous les jours. Et du souvenir qui dort, on passe au souvenir que l’on porte au quotidien.

Étymologie de miracle :
(XIe siècle) Du latin miraculum «prodige».
Miraculum vient de mirus «étonnant, merveilleux» et oculus «œil» : ce qui est merveilleux à l’œil.

Nous voulions upcycler les vêtements qui dormaient au fond de nos armoires. Ces t-shirts que nous ne portons plus mais que nous ne voulons pas jeter. Les T-shirts parfois trop grands, parfois publicitaires, qu’on nous a donnés, qui nous rappellent quelqu’un, des vacances…

Les mira-cul-ées sont des sous-vêtements upcyclés dans lesquels nous nous sentons bien et qui épousent nos formes. Ce sont des sous-vêtements qui ne limitent pas nos mouvements, mais qui les libèrent et les accompagnent tout au long de la journée. Nous nous sentons forts et beaux, les miraculés.
Ce sont des bouts de t-shirts confortables upcyclés en sous-vêtements confortables. Des t-shirts du dimanche, nous passons aux sous-vêtements du dimanche.